Pourquoi
diable me suis-je arrêtée à Weishan?
Bah
c'était
sur la route
le
genre d'endroit où "il n'y a rien à voir".
Tout
ce que j'aime
rien
de spécial
ni
grande muraille
ni grands buildings
la
petite ville
la
petite vie, quoi.
Avec
des ruelles tranquilles et des parfums de gâteaux qui cuisent
et
la pollution infernale des faubourgs
qui vous oblige à porter un mouchoir sur
le nez pour ne pas suffoquer
et
à crier pour se faire entendre
la
vie quoi
dans
une bourgade chinoise.
Un quotidien exotique
pour mes deux comparses Chinoises très urbaines...
Ecoutez
leurs réactions, dans "Instantanés du monde à Weishan"
Photographie ©
Anne Bonneau
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