lorsqu'on
est
retiré
dans
une vallée
des
Marquises?
De
la terre et des eaux.
Mais
ici
à
Hapatoni
on
a décidé
aussi
de
vivre
de
ce que la nature
peut
laisser
de
déchets.
Des
tibias des chevaux morts de soif
à
la corde de coco
une
fois la noix consommée.
D'os
de trucs
d'arêtes
de machins
de
dents d'animaux morts
et
de corne
et
de peaux.
Le
même genre de choses
précieuses
dont
se sert
ce
que l'on appelle
l'industrie
du luxe.
Des
matières rares
érigées
en
objets d'art.
Ce
qu'ailleurs
on
néglige.
Ecoutez
ces artisans
d'un
autre luxe
Photographie©Anne Bonneau
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