Photo AB D'abord il y a un gong. Bon, en fait, dès cinq heures du matin on entend des gongs qui retentissent à Mac Leod Enfin, je dis cinq heures du matin parce qu'une nonne m'a dit qu'elles se réveillaient à cinq heures du matin, parce que pour moi, cinq heures c'est encore le plus profond de la nuit. Durant ces journées passées là-bas, j'ai appris à ne pas me réveiller au son des gongs des nombreux couvents et monastères de la bourgade... Mais je m'égare... Donc, il y a un gong Et la tranquillité du temple/monastère/couvent part à vau-l'eau C'est l'heure des débats de dialectique, sur des textes de la religion que ni vous ni moi , enfin vous peut-être mais moi sûrement pas, ne comprenons... Et pas seulement parce que c'est en tibétain Bon. Il y a des gestes fabuleux qui rythment ces échanges critiques affûtant l'esprit des claquements de mains, des déhanchés, des lassos de chapelet, des moulinets de bras, des cris A entendre dans "Instantanés du monde à Mac Leod Ganj" A comprendre, si l'on trouve le temps d'aller écouter les grands lamas de l'Institut de Dialectique Bouddhiste Pour ça, faudrait se lever un peu plus tôt... Au son du gong, peut-être... |
samedi 19 novembre 2011
Des claps et des cris
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