Autrefois
on s'y mettait tous
le
village tout entier
allez,
à la pioche
à
la pelle
et
c'est parti.
Branle-bas
de combat
pour
creuser
les
bassins
de
récupération
des
eaux pluviales.
Et
puis
après
les
instances coloniales
puis le
gouvernement
s'en
sont mêlés
et
on s'est dit
ayé
le
problème de l'eau
est
réglé.
Mouais.
Aujourd'hui
on réalise
que
si l'on ne remet pas
la
main à la terre
pas
grand chose
ne
se fera.
ça n’empêche pas
les
petits futés
les
gros bonnets
de
profiter
de
la manne
céleste...
Ecoutez Monsieur
Karmekam
dévoiler
les rouages
des
fonds
alloués
à
l'eau
Photographie©Anne
Bonneau
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