Ils
viennent ici à quatre heures
le
matin.
il
fait encore nuit
ils
portent une lampe frontale
et
bossent
jusqu'à
ce que le soleil descende
d'abord
sur la montagne
sur
la cime des palmiers
et
quand il menace d'atteindre
la
plantation de taro
hop
ils
filent.
"ça
tape trop!"
Il
est alors
six
heures et demi
l'heure
d'aller prendre le café
et
de s'occuper des cochons
avant
la pêche
C'est
dur?
"Non,
on travaille entre copains. et c'est beau tout autour. On peut regarder les
taros pousser."
Ecoutez
ces jeunes gens
calés
sur le soleil
dans
"Instantanés du monde, dans les tarodières des Australes" (cliquez
ici pour entendre l'émission)
Photographie©Anne Bonneau
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