Il
parle de ses ancêtres
comme
s'il avait
partagé
avec
eux
les
heures du massacre.
Il
parle de ceux
qui
vivaient là
au
XVIIIème siècle
et
qui ont donné
leurs
vies
pour
sauver
leurs
arbres.
Il
dit "les nôtres"
et
il jure
que
si
demain
leurs
arbres
étaient
à nouveau
en
péril
il
donnerait alors sa vie
pour
les sauver.
Et
celle
de
ses enfants
de
ses petits-enfants
Ecoutez Bakaramji Bishnoï, dans "Instantanés du
monde à Khejarli" (cliquez ici pour entendre l'émission)
Photographie©Anne
Bonneau
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