Les
rizières sont en contrebas
les
digues sont assez larges pour un chemin
à
prendre à pied
où
à vélo.
Entre
les arbres qui les ombragent
des fenêtres s'ouvrent
sur
des scènes souvent bucoliques
le
riz que l'on repique, que l'on récolte
les
couleurs des saris dans le vert cru
un
petit temple qui s'effondre sous les palmes
les
retenues d'eau, propres à cette région aride
couvertes
de jacinthes, de nénuphars, de cormorans ou d'aigrettes
et
là
cet
homme qui susurre des mots doux à son buffle
en
chantonnant
lui
intimant de se tourner
là,
dans ces retenues d'eau précieuses
des
moments à savourer, sur la pointe des pieds
à
écouter, ici :
Photographie©Anne Bonneau
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